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Mamère ou pas Mamère

Présidentielle :
Dernière ligne droite pour la primaire des Verts

[ 12/06/2001 - AFP ]
MONS-EN-BAROEUL


Noël Mamère et Alain Lipietz, qui ont débattu lundi soir à Mons-en-Baroeul (Nord) dans le cadre du seul événement public de la campagne du second tour de la primaire des Verts, n'ont plus qu'une semaine à attendre avant de savoir lequel d'entre eux représentera leur parti à la présidentielle.

L'influence du débat, qui a eu lieu devant près de 150 personnes, devrait être plus que limitée. Le vote par correspondance auquel étaient conviés les 10.372 adhérents des Verts sera clos vendredi et le dépouillement aura lieu le 20 juin.
Si le député de Bègles était arrivé en tête des cinq candidats du premier tour (42,78% des voix), devançant largement Lipietz (25,65%), ce dernier a su créer une dynamique en recevant des appuis de plusieurs personnalités, parmi lesquelles René Dumont, candidat écologiste à la présidentielle de 1974, Denis Baupin et Maryse Arditi, porte-parole nationaux, ou Martine Billard, porte-parole de l'aile gauche du parti.
A l'issue du premier tour, plusieurs responsables Verts avaient d'ailleurs prédit que le score serait plus serré que prévu. La tension était même montée d'un cran entre les postulants la semaine dernière, au point qu'ils ont fini par avoir une explication "entre hommes".
Depuis, certains de ceux restés silencieux jusqu'alors sont venus apporter leur soutien à Mamère : Stéphane Pocrain, porte-parole national, et les députés européens Marie-Anne Isler-Béghin et Yves Pietrasenta. Quant à l'ex-présidente de la région Nord-Pas-de-Calais, Marie-Christine Blandin, elle semble aussi pencher à demi-mot de ce côté.
Le député de Bègles met cependant en garde contre "les tendances hégémoniques que l'on peut trouver au sein d'un parti". "Il ne serait pas normal, dit-il, que nous ayons un secrétaire national du même courant (Dominique Voynet après son départ du ministère de l'Environnement à la fin du mois), un candidat à la présidence de la République du même courant et un ministre (Yves Cochet qui devrait en toute vraisemblance succéder à Voynet) du même courant".
M. Mamère confie ne pas être surpris par les ralliements d'après le second tour en faveur de Lipietz, estimant qu'ils viennent de personnes "qui n'auraient jamais voté" pour lui. Prudent, il répète qu'il n'a "jamais cru à une élection de Maréchal" ou que "les Verts (lui) donneraient un chèque en blanc". "Si je fais 52/48 ou 53/47, je serai très content", assure-t-il.

M. Lipietz confirme que le score sera serré. Les Verts "vont se partager pratiquement en deux" prédit-il. Mais tout le monde a compris que ce n'est pas une bagarre de courants. "Ce n'est pas les Voynétistes contre les Mamèristes. Je ne suis pas le Voynétiste de service", dit-il.
Le ministre de l'Environnement a certes tout intérêt à ce que Mamère ne soit pas élu à une large majorité. Mais un revers du député de Bègles constituerait certainement un casse-tête pour elle. Pour Lipietz, pourtant, les courants en ont pris un coup pendant ces primaires. "Dans les soutiens que j'ai rassemblés pour le second tour, j'ai des gens de tous les courants. Noël aussi en a. Les courants sont eux aussi fracassés, tout comme la différence entre Verts historiques et Verts nouveaux", ceux qui sont rentrés à partir de 1998.
Le député européen croit par ailleurs qu'il est possible de convaincre les Français d'élire un Vert président et de ne plus se satisfaire d'une candidature "de témoignage".


COCHET, ça se confirme

Il affirme ne pas avoir signé la résolution Montebourg

[ 13/06/2001 AFP ]
Le député Vert Yves Cochet a affirmé, mercredi, ne pas être signataire de la proposition de résolution Montebourg tendant au renvoi de Jacques Chirac devant la Haute Cour, bien que son nom ait été cité parmi les signataires.
"Je ne suis pas signataire de la résolution Montebourg. J'ai vu ça il y a une quinzaine de jours dans la presse écrite où il y avait des listes de signataires putatifs. Mais en ce qui me concerne, a-t-il déclaré sur France Inter, c'est une erreur puisque je n'ai pas signé".

Libération affirme mercredi, sur son site internet, qu'Yves Cochet, qui était pressenti pour succéder à Dominique Voynet au ministère de l'Environnement, serait "dans le collimateur de l'Elysée" pour avoir signé la proposition du député socialiste Arnaud Montebourg.


A gauche : ça se tire dans les pattes

Mamère: une "opération de replâtrage"

[ 13/06/2001 AFP]
Le député Vert Noël Mamère a estimé, mercredi, que l'accord finalement trouvé entre le gouvernement et les communistes sur le volet anti-licenciements était une "opération de replâtrage" ayant abouti à des "décisions qui sont plutôt cosmétiques".
Il a déploré, sur France Inter, qu'il n'y ait "aucune avancée significative en terme de démocratie dans l'entreprise". C'est la raison pour laquelle, a-t-il expliqué, "les députés Verts vont s'abstenir" cet après-midi lors du vote en deuxième lecture du projet de loi de modernisation sociale.

Selon lui, "on en est resté à une question de rapport de forces au sein de la gauche alors que la vraie question qui se posait était de savoir comment on peut introduire de la démocratie dans l'entreprise". "La gauche a-t-il estimé, aurait pu apporter un plus, notamment dans l'introduction de la démocratie dans l'entreprise, la consultation des employés en amont et la formation des employés dans la perspective de restructurations pour permettre qu'ils soient reclassés dans d'autres conditions".

Le responsable écologiste, candidat à la candidature de son part pour la présidentielle, tire néanmoins une conséquence pour les Verts de l'accord obtenu entre le gouvernement et les communistes: "Ils sont trente-deux députés, nous sommes quatre. C'est bien l'illustration selon laquelle il faut que notre poids politique se renforce".

Voici les commentaires de certains chasseurs. Je vous les livre tel quel..


C'est le moment ou jamais de durcir notre mouvement et notre mécontentement.

Ce n'est pas avec une poignée de cacahouètes encore fermées dans un sac que nous allons faire des courbettes à tous ces empêcheurs de chasser à notre façon.
Une fois que leur place au gouvernement sera obtenue, les faux culs pourront se réjouir et penseront "on vous a bien eu, vous l'avez dans le C..".
Ce qu'il faut c'est du " noir sur blanc " avant les élections avec des textes qui tiennent la route et qui ne pourraient pas être cassés au bout de 6 mois. Des lois qui datent de Napoléon sont encore d'actualité et de vigueur. Que le gouvernement nous en donne au moins la même durée de vie. (ou au moins comme un bail emphytéotique, compris entre 18 et 99 ans)
Signoret Jean Pierre (63 Puy de Dôme)
Délégué régional du SNCC
(Syndicat National de la Chasse et des Chasseurs)



Il y a déjà des motifs qui justifient l'union de tous les chasseurs (migrateurs, petit gibier, grand gibier,...). La loi "ANTI"-chasse, attaque particulièrement la chasse au gibier d'eau, mais elle contient des textes qui touchent toutes les chasses.
Par exemple :

- L'article qui stipule la réglementation sur le transport des chiens (tous les chiens devront être transportés dans des caissons réglementés et dont l'usage devra être uniquement réservé à cet effet).
- Toujours à propos des chiens, le chasseur qui ira à la chasse avec plus de 2 chiens, sera considéré comme chassant avec une meute !!!
Bref, voilà à quelques exemples de menaces qui touchent tous les chasseurs.
Le problème est la mésinformation des autres chasseurs.




C'est la leçon à retenir.
Je ne suis pas "activiste" CPNT, mais force est de constater que si l'on veut se faire entendre, il faut aller jouer dans le bac à sable des politiciens et mettre en danger ce qu'ils ont de plus cher, leur petit pouvoir, y compris la Safrane et le Gyrophare.
Mais comme indiqué ci dessous, méfiance, cela peut aussi sentir le piège à cons.




Pour ceux qui en doute encore, les derniers évènements en notre faveur prouve bien la capacité de nuisance de CPNT, et donc de son utilité. Sans cette capacité, sans cette crainte de certains élus de voir leur mandat sauter par nos votes, nous n'aurions pas récupéré les nuits du mercredi, et Jospin ne retournerait pas sa veste comme il le fait, mais surtout, ne nous laissons pas endormir par des promesses électorales, servons-nous de ce poids politique que nous représentons, il est trop tard pour eux, nos plaies sont encore béantes malgré les pansements qu'ils nous tendent, et sachons nous en souvenir le jour venu.
Faites le savoir autour de vous.


Il faut en effet obtenir des garanties (signées) avant les élections pour sanctionner par la suite les traîtres (tous). Avec un bon score aux législatives CPNT pourra ainsi contrôler que la loi (nouvelle) sera bien maintenue. Mais s'il n'y a rien avant, ce sera dur. Il faut réclamer le maximum et pour tous. Je suis chasseur de migrateurs mais il faudrait que les modifs, s'il y en a, concernent tous les chasseurs et partout. Cela montrerait notre union et donc notre poids.




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