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Information prise dans "le chasseur du puy de dôme"
n° 10 de juillet – août 2000
et signé de Monsieur Alain ROUSSEAU.

Merci de faire circuler et de dénoncer ce texte auprès de tous vos contacts. Stoppez la menace avant qu’elle ne touche nos enfants.

Réagir à la désinformation à l’école, c’est du ressort de chacun.

Forts des expériences menées avant eux par d’autres mouvements intégristes, parfois de la plus sinistre mémoire (dont ils semblent régulièrement devoir s’inspirer par certains côtés), les opposants de la chasse, afin de hâter sa disparition, ne reculent devant rien pour éloigner les gens de notre milieu, et notamment les enfants, en nous déconsidérant à leurs yeux.

Ils ont recours auprès des autorités académiques, voire auprès du pouvoir politique (cf les diverses pétitions, probablement d’ailleurs toutes signées par les mêmes personnes, et les conséquences qu’elles ont eu sur le rapport Patriat) image anthropomorphique ou aseptisée de la nature, noyautage de l'information et, particulièrement, interventions orientées dans les écoles, ces dernières étant d'autant plus perverses qu'elles ont le déplorable effet d'influencer les enseignants eux-mêmes, ce que nous verrons ensuite. Si différentes associations et mouvances (A.E.C.63 ou autres associations d'enseignants chasseurs, U.N.F.D.C. et fédérations, Associations de défense de la chasse, C.P.N.T, ... ) ont conscience du problème et entreprennent des actions en conséquences, on pourrait croire, dans l'état actuel des choses, que le chasseur de base ne doit se contenter que de compter les points, alors qu'il a en réalité un rôle capital à jouer, surtout en ce qui concerne l'aspect local de la question. Je m'explique : Beaucoup de chasseurs énoncent complaisamment que «les pédagos sont (presque) tous anti-chasse», sans chercher plus avant le fondement de ce regrettable poncif. Cela voudrait-il dire que les enseignants sont sélectionnés sur leurs opinions ? Ou bien qu'on leur inculque certaines idées lors de leur formation ? Il faut se rendre compte du ridicule de ces hypothèses. En fait, il est beaucoup plus rationnel de les considérer dans leur grande majorité (car on ne peut nier qu'il en existe de mauvais, que l'on retrouve d'ailleurs souvent sur les listes vertes ou du Front National) en victimes de l'entreprise mesquine de désinformation dont ils «bénéficient» parallèlement aux enfants de leurs classes. N'étant - Dieu merci - pas des machines, les enseignants restent ouverts en principe et par devoir à toutes informations, d'où qu'elles proviennent, et sont aptes à analyser objectivement celles qui sont contradictoires. Or, nous, chasseurs, ne leur offrons pas cette possibilité, la plupart du temps par manque de réaction, les laissant s'enfermer, par voie de conséquence et avec la meilleure foi du monde, dans une ignorance forcée par des détracteurs que nous laissons seuls s'exprimer. Comment ne pas s'étonner ensuite du marasme dans lequel nous nous trouvons? Bien ! Mais que faire ? rétorquerez-vous. C'est à la fois très simple et très délicat. Très simple car il suffit de discuter (nous sommes bien quelques enseignants à pouvoir le faire avec nos collègues et, surtout, beaucoup de parents à pouvoir refaire avec les enseignants de nos enfants), et très délicat car il faut que nous sachions argumenter logiquement tout en prenant bien garde de ne pas faire preuve d'agressivité, ce qui est essentiel (laissons cela à «ceux d'en face»: ce sont des extrémistes et pas nous, ce dont on ,finira bien par s'apercevoir et qui devrait devenir un jour payant). Je citerai en exemple une expérience personnelle toute récente: je suis instituteur à l'école de Montaigut en Combraille (classe de CE1/CE2), de laquelle tous les enfants, de la maternelle au CM2, ont été dernièrement conviés par l'Amicale Laïque à assister à une projection animée par un certain Monsieur Daniel Eschapasse (26, rue du Creux Rouge à Clermont-Fd) et incluse dans une programmation dite des «spectacles de la citadelle» (c'est bon à savoir si vous apprenez que vos enfants doivent eux aussi subir la même chose). J'ai commencé à dresser les oreilles dès que j'ai su que le titre du film était «Prom'nons-nous dans les bois» et n'ai pas eu à regretter mon attention, d'autant que, par la suite, je me suis littéralement régalé! De quoi s'agissait-il donc? Eh bien, figurez-vous que, dans ce film, commenté en direct par notre bon Monsieur Eschapasse, un enfant prénommé Aimeric part à la recherche du loup, quête que l'on sait vaine dès le début puisque «les loups ont tous été tués par les chasseurs». Mais enfin, parti pour parti, Aimeric s'en va quand même se promener dans les bois. D'après les décors et certains évènements, l'action a l'air de se dérouler au tout début de l'été, détail qui aura son importance ultérieurement. Notre jeune héros se rend donc chez son ami le garde forestier où il commence par caresser (tripoter serait plus juste) un faon, que l'on nous présente comme étant de cerf quoique je n'ai pas cru l'identifier ainsi, car «c'est bien de caresser les faons, ça montre qu'on est leur ami» (Ouille !). Puis il rejoint sa cabane dans les bois, non sans avoir gratouillé au passage et pour les mêmes raisons le ventre d'un petit hérisson (pluriel utilisé par M. Eschapasse : des z'érissons) et taquiné une couleuvre qui croisait son chemin. Arrivé à son but, notre ami s'empare d'une paire de jumelles et observe la nature. Et que voit-il donc ? Un magnifique chevrillard, avec de jolis et bien visibles petits boutons sur la tête que l'on apprend en fait être ... une-maman-attendant-son-petit-qui-ne-devrait-pas-tarder-d'arriver, ce que ce dernier fait effectivement en la personne... du faon cité plus haut! (pris cependant sous un autre angle de vue, ce qui a dû suffire à le faire changer d'espèce). Bref, il arrive un moment où Aimeric en a assez de cette inaction et décide de s'adonner à une approche peu discrète et néanmoins efficace puisqu'elle lui permet, à partir de la découverte de traces de chevreuils d'aboutir à ... une laie suitée (puisque M. Eschapasse nous avait assuré auparavant que les traces en question étaient dues à des sangliers !). Lorsque l'on voit cette brave maman de plus près, sans ses petits - et pour cause - il lui a poussé du poil d'hiver, d'imposantes défenses et un pinceau pénien que M. Eschapasse n'a tout de même pas présenté comme une tétine unique (j'aurais peut-être dû lui demander si tous les marcassins se servaient de la même !). Oooh! Que voilà soudain? Un renard ! (Que c'est beau, un renard ! Comme c'est majestueux!» (sic) s'exclame alors admiratif M. Eschapasse, avant de se renfrogner : «Comment peut-on tirer sur un renard?). Et que fait-il ce renard ? Il chasse, explorant méthodiquement les interstices d'une pile de bois à la recherche... d'un faisan. Le volatile s'étant enfui (il était en fait dans des fougères, à des kilomètres de là d'après le biotope) et le renard ayant sans doute repéré Aimeric, celui-ci reprend donc son chemin et, après qu'il ait vu naître des petites couleuvres mais aussi des petites vipères aspic, son attention est attirée par l'arrivée d'un cerf.. qui se met à bramer (rappelez-vous à quelle époque se passe l'histoire)! Mais il se fait tard : Aimeric doit rentrer, profitant de la nuit tombante pour observer les chouettes (pas les z'iboux qui devaient peut-être manger des z'érissons à ce moment-là). je n'ai rien dit à M. Eschapasse, considérant qu'il vaut mieux abandonner ce genre d'individu à son ignorance. Mais en contrepartie, j'ai procédé à quelques mises au point avec mes collègues et c'est sans hésiter qu'ils ont reconnu avoir bien failli se laisser berner par pure ingénuité. Gageons que la répercussion se fera sur leurs élèves. Évidemment, en regard des énormités débitées dans cette situation précise, ma tâche a été considérablement simplifiée, mais je suis convaincu que l'on aura toujours une faille à découvrir et à exploiter dans les autres cas (ce serait sinon reconnaître le bien-fondé des allégations de nos ennemis). Quant à notre ami Eschapasse, cela m'étonnerait assez qu'il soit de nouveau sollicité pour venir oeuvrer à Montaigut et, si lui ou l'un de ses semblables devait se présenter dans votre école, qu'on le laisse y sévir plusieurs fois de suite, Si vous avez bien compris que faire en la circonstance. 18 F (2,74 E) par enfant à la séance, auxquels ajouter éventuellement la vente d'un livre à 30F (4,57 E) l'exemplaire, il faudra bien un jour ou l'autre que ce type de propagande éhontée cesse, faute de rentabilité. Et c'est aux gens de terrain que nous sommes qu'il incombe en premier lieu de réagir face à ce qui n'est en réalité ni plus ni moins qu'une escroquerie. Voilà qui illustre simplement comment un peu de vigilance et de diplomatie peuvent représenter, parmi d'autres, une contribution essentielle que chacun d'entre nous, à son propre niveau, est en mesure d'apporter à l'entreprise de défense de, notre art de vivre que nos dirigeants auront beaucoup plus de peine à mener à bien si nous les laissons agir seuls. . À bon entendeur.. salut!

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A mort la chasse !

Les anti-chasse se déchaînent pour noyauter les écoles. Tous les moyens leur sont bons. C'est ainsi qu'ils ont osé apprendre aux enfants de Gondrecourt (Val d'Oise) une chansonnette intitulée : "le rap des lapins". Refrain : " Va-t-en chasseur, va-t-en tueur. Tu me dégoûtes et du me fais peur. " A noter, qu'un peu plus loin, les chasseurs sont associés aux racketteurs et aux pédophiles. Des poursuites judiciaires sont en cours.
doc. Chasseuronline




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